Je me souviens d'un temps où les journalistes évoquaient encore la trêve de Noël, réminiscence je suppose de la trêve de Pâques du moyen-âge. D'un temps moins lointain où l'on parlait de torpeur estivale pour expliquer une actualité sans trop de relief.
Fini tout cela. Chaque jour ou presque pousse à la colère, à l'écoeurement, voire au découragement. Pas de trêve dans l'indigne, pas de trêve pour l'indécence et le mépris sans frein.
Exprimer son dégoût et sa colère sans aller trop loin, en conservant suffisamment de calme pour être audible, je ne sais pas vraiment le faire. Mais cela est fort bien dit ici http://unclavesien.blogspot.com/2010_07_01_archive.html">
ou là http://reverdenouveau.canalblog.com/">
Et encore ce jeu pervers avec le feu qui ne demande qu'à se rallumer... http://blogajef.blog.lemonde.fr/2010/07/31/gitans-gens-du-voyage-et-autres-romanichels/">
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