jeudi 5 juin 2014

J'ai des tendresses pour les loups qui roulent des pensées sauvages

Petite réflexion en passant. A propos de cette inclination bien enracinée en moi.

Je me demande si ce sont les livres qui nous changent, ou si c'est de trouver un jour dans un livre ce qui restait informulé qui nous mène à la littérature.

Quand l'élève est prêt, le maître apparaît toujours. Il semble que cela soit dérivé d'une pensée bouddhiste, même si je l'ai entendu dernièrement dans une série policière.

Je n'ai pas de réponse, juste des questions qui mènent à une sorte de rêverie sans fin sur le comment et le pourquoi. C'est un état que j'ai toujours aimé, d'aussi loin que je me souvienne.

J'ai des tendresses pour les loups qui roulent des pensées sauvages, à défaut de trouver un enregistrement du texte chanté par Alain Aurenche, une idée très semblable chez Juliette :


juliette - les garçons de mon quartier par bisonravi1987

J'avais mal cherché :