La mi-septembre, la deuxième semaine de cours, les bavardages en classe, les premiers oublis, les tensions des devoirs une fois de retour à la maison, le retour de la pluie, les levers avant le soleil, les heures et les jours qui filent on ne sait où.
Des réponses en retard, mais je veux prendre le temps pour répondre vraiment. Des projets suspendus, mais je veux prendre mon temps et être aussi contente du résultat que de la mise en oeuvre. Des livres en attente, mais je n'ai plus le temps de m'y consacrer l'esprit tranquille.
Et cependant, un emploi du temps privilégié, des élèves adorables, une ville qui change en mieux plus vite que prévu, les compliments inattendus d'une nouvelle collègue, des liens d'amitié qui se resserrent, le soleil qui persiste à faire signe même les jours de pluie.
vendredi 17 septembre 2010
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7 commentaires:
Pourvu que cela dure
Chez nous aussi, le soleil apparait ici quand il pleut en bas...
La fatigue empêche parfois d'apprécier pleinement tout ce qui va très bien.
Je ne voudrais surtout pas te déprimer... mais, même à la retraite, le temps qui file on ne sait où... ça existe ! Ainsi que les tas de choses à faire et les projets qui s'emmêlent les pattes...
En fait... je crains qu'une vie ne soit trop courte pour y faire tout ce que l'on voudrait faire...
Ah ! Si nous avions 7 vies, comme les chats !
7 seulement ? J'ai toujours cru que c'était 9... Je suis une éternelle optimiste !
Euh... je crois que 9, c'est pour les queues...
Elle est agréable cette photo. C'est toi qui l'as prise ?
Je n'ai pas pris la photo Max, mais outre le fait qu'elle illustrait mon sentiment au moment de publier la note, je trouve que cette montée ressemble beaucoup à une que j'empruntais avec ma grand-mère quand j'étais une toute petite fille.
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